Wednesday, March 28, 2007

"Le vent fait tinter une clochette.

Un instant de stabilité et elle ne tinte pas. Un instant de mouvement et elle tinte. La clochette a-t-elle un son? Ou bien le vent?"

Extrait d'un poème d'Ikkyû, moine japonais du XVè s, traduit par M&M Shibata.

7 comments:

Anonymous said...

Qu'est-ce qui compte le plus dans un bol, la partie solide ou le creux ?

Julie said...

Le chocolat chaud qu'on met dedans!

Holly Golightly said...

Julie a des réponses magnifiques.

marie.l said...

hummmm ! c'est bon un chocolat chaud ;)

Audrey H. said...

Cet adorable poème est un cadeau du coeur. Tiens j'aurais presqu'envie de me mettre au japonais pour la peine.

Bon après-midi Julie! :)

Julie said...

Moi ça me donne envie de me mettre au chocolat chaud (c'est vrai: un chocolat chaud c'est magnifique!). Et à la clochette aussi, avec ou sans fée.

Oh voilà-y-pas que passe à portée de pensée un verbe que j'adore, longtemps oublié: tintinnabuler.

Anonymous said...

Jolie poésie !